Docteure en histoire de l’art contemporain, Camille Richert amorce un projet sur la thématique du travail, en réfléchissant aux conditions auxquelles une exposition pourrait former une écriture visuelle et démocratique de connaissances scientifiques. L’auteure opte pour une co-construction des savoirs du travail par ses acteurs, qui aboutirait à une scénographie et un choix d’œuvres privilégiant la cohérence éthique avec leur sujet.Le projet consiste en la proposition d’expositions dites « sociales » selon les trois prismes identifiés : médiation, commissariat et scénographie.